Tu as l’impression de ne plus vivre dans le péché ou est-ce qu’en fait tu ne te serais pas habitué au péché ?

Parfois on a l’impression que nos vies sont roses ou plutôt blanches comme neige alors quand fait elles sont un gris de plus en plus foncé.

Je ne vois pas clair ? Je suis encore dans mon péché ?

On s’accommode parfois de certains compromis, de certaines concessions sans s’en rendre véritablement compte. On a l’impression de n’avoir bouger notre pied du chemin que d’un micro centimètre. Cependant, ce micro centimètre est parfois suffisant pour nous mener à notre perte sur le long terme. Et à dire vrai, c’est inévitable si on n’apprend pas à prendre du recul sur nous même, nos vies, nos actions.

1 Corinthiens 11.31 : Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.

Par exemple, on pense en avoir fini avec le mensonge, parce qu’on sait pertinemment que Dieu l’a en horreur. Mais on se laisse aller aux « petits mensonges » tels que la raison pour laquelle je suis en retard; le lieu où j’étais, pourquoi je n’ai pas répondu,  etc…

Proverbes 6.16-19 : Il y a six choses que hait l’Éternel, Et même sept qu’il a en horreur; Les yeux hautains, la langue menteuse, Les mains qui répandent le sang innocent, Le coeur qui médite des projets iniques, Les pieds qui se hâtent de courir au mal, Le faux témoin qui dit des mensonges, Et celui qui excite des querelles entre frères.

Le problème est souvent que pour pouvoir nous juger nous mêmes il faudrait prendre le temps de faire un pas en arrière pour observer tous les domaines de notre vies, tel un observateur et pas un acteur. Par conséquent, on n’aura jamais la vue d’ensemble nous permettant de nous réajuster.

Quel est le risque de ce compromis, cette concession ?

Pour intégrer et visualiser clairement l’impact négatif des compromis dans notre vie, je vais te donner un exemple.

Parlons brossage de dents. 🙂
Lorsqu’on ne se brosse pas les dents le soir avant d’aller se coucher, on a l’impression que ça n’a aucune incidence jusqu’au jour où nos gencives nous font mal et se mettent à saigner facilement. On a l’impression que les conséquences ne sont que sur le court termes, jusqu’à ce que finalement notre haleine se dégrade désastreusement.

Et encore, même dans ces cas là, on ne verra parfois pas que le problème vient du non brossage de dents du soir et de toutes les bactéries qui restent logées. On cherchera une autre explication parce que finalement ce petit écart de conduite est tellement petit qu’il est somme toute sans conséquences, heiin ??

Jusqu’au jour où on a une cari. Jusqu’au jour où une de nos dents se déchaussent en croquant dans une pomme. C’est pareil avec le péché et même ce qu’on ose parfois appelé les petits péchés. Je pense bien qu’en réalité ce sont les plus sournois car le mal qu’ils font n’est pas visible tout de suite. Il intervient sur le long terme.

 

Alors que décidons nous ?
Mon conseil, pour moi et pour toi aujourd’hui :  faire un check.
Recule d’un pas et observe ta vie. Fais un bilan, positionne-toi fermement et agis en fonction.
Si tu le souhaites télécharge le workbook permettant de faire ce bilan. Il est disponible ici.
Grâce à lui tu ne feras pas uniquement le bilan mais tu travailleras sur tes objectifs également. 

Je suis comme je suis et puis tant pis pour toi ! – S’aimer les uns les autres

-« Personne ne change qui je suis » ,
– « Si les gens ne sont pas d’accord alors tant pis pour eux »,
– « Moi, personne ne peut me changer, seul Dieu le peut ».

Est-ce que ce sont des phrases que tu as déjà entendu. J’en ai entendu souvent des comme ça et des plus coriaces. 😅

Aujourd’hui je te partage mon point de vu sur cette position : pourquoi et dans quel cas je suis pour. Et pourquoi et dans quel cas je suis contre.

Tu sauras donc pourquoi parfois cette phrase est acceptable, à mon sens, et les moments où elle est totalement inacceptable, voir même dangereuse pour celui qui la prononce. Prêt(e) ?

Un point de vu qui nous permettra d’ouvrir la discussion et nous élever à la réflexion.

La réflexion te protégera, l’intelligence te gardera. Elles t’empêcheront de te conduire mal. Elles t’éloigneront de ceux qui disent des mensonges (…)

Proverbes 2:11‭-‬12

  1. Contre
  2. Pour


  1. Contre

Je commence par les moments où cette phrase est pour moi inacceptable car malheureusement je pense que c’est le cas le plus récurrent.

Les occasions où il semble dangereux d’utiliser cette phrase, c’est lorsque derrière cela se cache rien de très fondé. C’est à dire qu’on impose sa personnalité à l’autre en face de nous mais sans but et objectif précis. C’est alors tout simplement notre orgueil qui prend le pas. Cette tendance à se mettre, se sentir au-dessus des autres inutilement.

C’est pour moi très dangereux car on se sent au dessus des autres et donc on est moins dans l’amour de son prochain. Hors c’est ce qui est sensé nous guider et nous porter dans notre marche : l’amour.

Parfois laisser un peu de place, de l’espace à l’autre en face est simplement un geste rempli d’amour.

2. Pour

Et donc par opposition, le seul cas dans lequel je trouve cela bon, c’est lorsque c’est l’amour qui est mis en avant. C’est lorsque notre geste, acte est pleinement dirigée par Christ, par la mission particulière qu’il nous donne de mener. Lorsque pour faire rayonner l’amour de Christ en nous, nous devons affirmer qui nous sommes avec grandeur. Par exemple on a une vision et un objectif bien précis que l’on poursuit et pour aller vers cela, pour se porter vers ce chemin sans détour il faut alors prendre position. Et alors là, bien évidemment on prend position mais toujours dans le respect de l’autre. Et je pense alors que, l’idée d’affirmation de soi est nécessaire. Mais, dans la manière de dire les choses, sans doute que ça ne sonnera pas d’une manière aussi brutale que : « Je suis comme je suis et puis tant pis pour toi ».

En fait pour conclure je dirai que nous pouvons nous baser sur ce passage où Paul nous dit :

1 Corinthiens 9:19‭-‬20

Car, bien que je sois un homme libre à l’égard de tous, je me suis fait l’esclave de tous, afin de gagner le plus de gens possible à Jésus-Christ. Lorsque je suis avec les Juifs, je vis comme eux, afin de les gagner. Lorsque je suis parmi ceux qui sont sous le régime de la Loi de Moïse, je vis comme si j’étais moi-même assujetti à ce régime, bien que je ne le sois pas, afin de gagner ceux qui sont sous le régime de cette Loi.

Assumer, accepter et savoir qui on est sans se compromettre mais en sachant être qui on est tout est laissant la place a l’autre. Paul a pris à cœur sa mission en sachant qu’elle position il avait, tout en ce mêlant à ceux qu’il côtoyait. Il fallait un équilibre.

La discussion est large et il y a tellement d’angle d’attaque pour aborder ce sujet (selon nos expériences personnelles, l’exemple même de Jésus) que je suis impatiente de te lire dans les commentaires 😆😉

Être en retard au culte, ce n’est pas grave !!! 😶

Est-ce que cette phrase te choque ?

Être en retard au culte, ce n’est pas grave !!! 😶

Peut-être qu’elle te choque et dite aussi froidement, je pense qu’elle ne peut pas nous laisser indifférente, cependant c’est la vérité de ce qui est chez beaucoup de chrétiens du dimanche.
Tu vas sûrement me dire que ce n’est pas ta vérité, que ça ne te concerne pas.

Alors, j’aimerais pousser la réflexion un peu plus loin et te poser deux questions :

1.Qu’est-ce que tes actes disent ?

2.Qu’est-ce qui est grave si ça, ça ne l’est pas ?


1. Qu’est-ce que tes actes disent ?

On entend très souvent dire, par les temps qui courent, que nos actes parlent bien plus que nos mots. Ou cela peut aussi se retranscrire via la citation suivante :

Fais ce que je dis, et pas ce que je fais.

Tout simplement parce que nos mots sont souvent bien plus beaux, classieux et honorifiques que nos actes eux-mêmes. Nos mots sonnent souvent comme de belles paroles sans mise en application.

Ma question est donc la suivante, qu’est-ce que tes actes, ton comportement dit de toi par rapport à ça :

Être en retard à l’église, ça n’est pas grave !

Je ne juge et vise personne, car c’est aussi le moyen pour moi de me remettre en question :

  • Est-ce que je suis souvent en retard ?
  • Est-ce je considère cela comme grave ?
  • Est-ce important pour moi d’arriver à l’heure ?
  • Si la réponse est non, pourquoi ??
  • Etcetera, etcetera…

2. Qu’est-ce qui est grave si ça, ça ne l’est pas ?

En fait parfois pour faire une vrai remise en question et pouvoir changer, impacter et transformer son comportement, il faut aller au fond du problème et questionner même le pourquoi.

Pourquoi je vais à l’église ?

Pour beaucoup d’entre nous, la réponse tourne autour de :

  • Pour honorer Dieu
  • Pour lui accorder la louange et l’adoration qui lui est due
  • Pour passer un temps hors de tout avec Lui
  • Pour communier avec mes frères et sœurs, s’encourager les uns, les autres

Dans tous ces cas, et dans tous les autres que tu pourrais citer, le pourquoi tourne autour de la volonté de passer un temps de qualité, un temps à part.

S’il est si important pour nous de mettre ce temps à part. Si ce temps est si précieux, est-ce qu’on a vraiment le temps d’arriver en retard ?

Si ce n’est pas grave d’arriver en retard à un moment si précieux et mise à part alors rien ne l’est, non ??

C’est la question que je me pose, que je te pose. Dis-moi en commentaire ton ressenti face à cette manière de voir les choses.

Penses tu vraiment que ta foi dérange ?

Nous voilà de nouveau ensemble pour nous pousser à aller plus loin dans nos retranchements pour tenter de ne pas rester figé sur nos propres limites (nos craintes, peurs et à priori). Parfois, en tant que chrétien, la raison qui nous pousse à ne pas étaler notre foi publiquement est le fait d’avoir « peur » de déranger. Nous voulons être arrangeants, bien vus et surtout politiquement corrects. En effet, ce sont de bons argument. Mais dans ce dilemme, une question devrait nous venir à l’esprit. Que ferait Jésus à notre place ?

Jésus n’a jamais eu de mal à exposer qui Il était, ni d’où Il venait. Alors, étant donné que nous sommes censé suivre ces traces, comment faire de même ?

Qu’est-ce qui dérange réellement la majorité des gens ?

Ce qui éventuellement pourrait déranger les gens qui nous entourent, lorsque notre foi devient le sujet de conversation, c’est lorsque nous devenons oppressants, acharnés ou encore obsédés au point de vouloir faire accepter notre point de vu à tout prix.  Bien souvent, pour la majorité des gens, il n’y a aucune autre contrariété que celle-ci. Bien évidemment, il y aura, toujours, des extrêmes : des personnes qui sont comme allergiques au mots « Jésus ». Mais ce n’est pas la majorité.

Une fois passé cette crainte là, comment faire ?

Comment parler de notre foi simplement ?

Une des premières choses que nous devrions et pourrions faire pour assumer notre foi publiquement est sans doute de ne pas la cacher. Sans forcément l’exposer, dans un premier temps, sur un étendard bien haut, assumer et un premier pas à faire. Mais dans quelle situation ? Tu vois, les fois où on nous demande ce qu’on a fait ce weekend et que l’on n’ose pas dire qu’on était à une réunion de prières, un concert chrétien ou encore à une rencontre de jeunesse. Certains pourraient me répondre que cela fait parti du domaine privé. Et c’est vrai. Mais alors, la question qu’il faut se poser, honnêtement, pour être certain que nous ne sommes pas en train de nous mentir à nous-même, c’est : « Est-ce que si c’était une réunion autre, un concert autre ou une rencontre entre ami, nous oserions le dire ? ». Soyons franc avec nous-même.

Une deuxième option à envisager, est tout simplement de faire preuve de bienveillance envers l’autre en cas de coup dur, de s’intéresser à l’autre et à ses problèmes en lui proposant, si besoin, le seul soutien que nous savons être sûr et efficaces : la prière.

Bien évidemment, ce ne sont que quelques pistes. Et ce blog est un lieu d’échange et de discussion, donc n’hésite pas à nous partager en commentaire ce que tu as pu essayer dans ta marche, ce que tu voudrais tenter où ceux par quoi tu es passé auparavant à ce sujet.

Depuis quand est-ce que c’est fade de me retrouver avec toi..?

Il y a un mensonge qui a envahi nos pensées, nos habitudes et nos mentalités au fil du temps. Nous passons souvent beaucoup de temps à :

  • faire des activités « chrétiennes » (comprendre des activités liées à Dieu),
  • parsemer nos agendas de rencontres, réunions à l’Église, de concerts, activités « chrétiennes »

mais est-ce vraiment l’indispensable ?

Rechercher à tisser une relation avec Dieu est ce qu’il y a de plus important, nous le savons. Mais est-ce que nous considérons cette recherche comme de L’indispensable (= dont on ne peut pas se passer) ou comme du secondaire.

En ce temps de crise sanitaire, lié au Covid-19, nous avons pourtant, pour beaucoup, redécouvert ce que c’est que d’avoir une relation intime, forte et continue avec le Seigneur. Mais pourtant, nous commettons encore, parfois, l’erreur de faire passer : l’écoute d’enseignements, de lives, de concerts, de culte en ligne avant notre relation personnelle et intime avec Dieu. Mais pourquoi ? Pourquoi est-ce si difficile finalement ?

Où se situe réellement notre problème et comment y remédier ?

1. Le vrai problème pour tisser cette relation

Une des premières réponses que l’on pourrait apporter, qui semble évidente et que l’on a beaucoup entendu est la suivante :  « La chair est faible » (Matthieu 26.41). En effet, lorsque l’on a du mal à tisser cette relation durable avec Dieu, c’est que l’on n’est pas assez fortifiée au quotidien, pour lutter contre les tentations, la paresse ou autre.

Mais, allons un peu plus loin dans la réflexion. Lorsque l’on tisse une relation avec quelqu’un, je veux dire quelqu’un de physique (une relation amoureuse ou amicale) , quels sont les paramètres qui font que l’on s’y implique, ou au contraire qu’on ne s’y implique pas ?

Ah, tu vois, si l’on positionne les choses ainsi, on les voit différemment. Souvent, les paramètres qui font qu’on ne s’implique pas dans une relation sont les suivants :

  • On ne prend pas conscience de la valeur de l’autre, en face,
  • On n’y voit pas la plus-value pour nous, notre vie (= notre intérêt),
  • Ce n’est ni fun, ni obligatoire,
  • Et une multitude d’autres raisons.

Est-ce que cela pourrait être les mêmes raisons pour notre relation avec Dieu Réfléchis-y !!!

 

2. Comment y remédier ?

Voici maintenant quelques astuces / tips qui vont nous permettre de mettre en place une méthodologie qui nous correspond et qui fonctionne pour nous :

  • Choisir le meilleur moment de la journée, celui où nous sommes le plus en forme, pour le passer avec Dieu.
  • Rendre le moment dans sa présence fun. Qu’est-ce qui est fun pour moi ?
  • Duper notre chair, consciemment et volontairement. Par exemple en nous récompensant de chaque victoire et moment passé. (je t’assure que ça fonctionne, notre cerveau aime les récompenses.)
  • Faire preuve de discipline et rigueur en planifiant nos moments seul à seul avec Dieu (comme un ami à qui on vient rendre visite).

Aurais-tu d’autres astuces à partager que tu utilises ? Je te laisse me les partager en commentaire.

« Tu écoutes papa et puis c’est tout ! » : et si Dieu nous disait ça ?

Cette année, ma fille a fait sa première rentrée à l’école maternelle. Je m’attendais à pleurer ou être super triste de voir à quel point ce cap la ferait grandir. Je m’attendais à prendre un coup de vieux dans ma manière de la considérer. Mais en fait pas du tout, j’ai surtout éprouvé un grand sentiment de fierté, de satisfaction face à ces réactions, etc… 

Puis au fil des jours, j’ai également constaté que via le détachement et l’autonomie que l’école lui faisait gagner, elle avait plus de faciliter à me contredire, à exprimer un avis contraire au mien. Et c’est là que la phrase  « Tu écoutes maman et puis c’est tout ! » a pris de plus en plus d’importance dans notre quotidien.  

 

Je voulais prendre le temps d’analyser cette phrase au regard de la relation parent-enfant que nous pouvons / pourrons avoir avec nos enfants et la relation parent-enfant que Dieu a avec nous. Voyons ça de plus prêt. 

  1. Est-ce que Dieu pourrait nous dire « Tu écoutes papa et puis c’est tout ! »
  2. S’il le disait, ce serait pour quelles raisons ?

  3. Et donc qu’est-ce que ça devrait changer en nous de savoir cela ?

Lire la suite « « Tu écoutes papa et puis c’est tout ! » : et si Dieu nous disait ça ? »

Les idoles contemporains : on se laisse attacher !?

idoles comparatif avec liens

Bienvenu dans ce nouvel article. Je pense que le titre est très parlant et que s’il t’a mené jusqu’ici, c’est que tu y a vu un soupçon de vérité et que tu as eu envie de creuser plus en profondeur ce sujet.
C’est tout à ton honneur.

Malgré ce pas véritable franchi, je ne vais pas être particulièrement douce, tu me pardonneras. Il faut parfois, un petit (ou grand) coup pour se réaligner correctement.

 

Nous parlons aujourd’hui des idoles contemporains :

1- Qui sont-ils ? Comment les identifier ?

2. Pourquoi et comment s’en détacher absolument ?

Lire la suite « Les idoles contemporains : on se laisse attacher !? »

Pourquoi est-ce qu’on dit que connaître la volonté de Dieu c’est : connaître Sa parole !?

On entend souvent dire qu’entendre ou connaître la volonté de Dieu pour notre vie se fait en connaissant Sa parole en premier lieu. Et, c’est une vérité à laquelle tu dois absolument t’accrocher en permanence pour avoir les directives de Dieu pour ta vie.

On est trop souvent perdu, sans repère dans nos situations en oubliant cette simple vérité. Une vérité simple mais tellement négligée.

On va donc voir deux choses aujourd’hui :

  1. Qu’est-ce que veut dire: « la volonté de Dieu »
  2. Pourquoi ça passe par la connaissance de la Parole pour la connaître ?

1.La volonté de Dieu, qu’est ce que ça veut dire ?

Dès lors que l’on marche avec Dieu, avec la ferme conviction qu’Il  est le meilleur choix pour notre vie, notre seule ambition c’est de découvrir exactement ce qu’Il a en réserve pour nous. Notre seule envie c’est de Lui plaire en marchant exactement là où Il voudrait qu’on soit : ON VEUT FAIRE SA VOLONTÉ.

Que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

Matthieu 6.10

Faire la volonté de Dieu ça veut dire, faire ce qu’Il :

  • Recommande
  • Prescrit
  • Et désire

Faire Sa volonté c’est aussi faire en lui accordant notre totale confiance.

2. Pourquoi ça passe par la connaissance de la Parole pour la connaître ?

Si on pense bien à ce que l’on vient de comprendre, connaître la volonté de Dieu pour nous, c’est connaître ce Qu’Il nous recommande, ce qu’Il désire.

En d’autres termes, il va falloir qu’on apprenne à Le connaître, connaître Sa manière de penser, Sa logique.

Un des meilleurs moyens pour connaître la manière de penser de Dieu est de lire, voir et regarder de quelle manière Il a réagi dans différentes situations, quels sont les conseils, directives qu’Il a donné auparavant. Comment s’exprime son caractère.

Parce que la vérité, c’est que quand tu connais quelqu’un, tu connais ses réactions, tu sais ce qui lui plaît ou ce qu’il déteste absolument.

Le fait de mieux connaître Ses goûts, Son caractère, t’aiguille plus facilement sur ce qu’Il veut pour toi (= sa volonté). Alors apprends à le connaître en lisant toutes les traces de Lui, de Son caractère dans Sa parole, la Bible.

Dit moi en commentaire une des choses dont du est certain que Dieu aime ou apprécie d’après ce que tu as pu lire de Lui ?


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Le culte du dimanche, avec des enfants ! 😅

Les enfants restent des enfants en tout temps, chrétiens ou pas. Que l’on soit à la maison ou en public. De même à l’église. Ils demandent de l’attention et de la surveillance. Et ils peuvent, souvent nous rendre fou et mettre à rude épreuve notre patience et maîtrise de soi.

La question qui se pose parfois c’est : comment profiter pleinement du culte du dimanche matin alors qu’on est sollicité toutes les 3 minutes ? Comment y prendre part, y prendre plaisir ?

Pour ma part la seule solution que j’ai trouvé : Réajuster dans mon état esprit. Me demander à nouveau : pourquoi je suis là ?

Et ma réponse est la suivante : Je ne suis plus là pour mon élévation et mon édification uniquement. En effet, je ne suis plus seule (et c’est une grâce, n’est-ce pas ?). Je suis et reste durant ces moments, une mère. Je suis donc à ce moment là également en train d’éduquer mon/mes enfant(s) .

À partir du moment où je me vois ainsi, je ne suis plus embêtée, agacée, énervée d’être interrogée, questionnée ou interrompue à tout bout de champs. À partir du moment où je réaligne mes pensées, c’est beaucoup plus supportable.

Apprends à l’enfant le chemin qu’il doit suivre , même quand il sera vieux, il n’en déviera pas.

Proverbes 22.6

Ainsi, si on considére que l’apprentissage, l’instruction se fait à tout moment de la journée : du réveil jusqu’au coucher, alors chaque parole, réaction est une leçon pour mon enfant, non ?

Qu’en dis-tu ? Est-ce que tu abordais déjà la chose comme ça ? Où est-ce que tu comptes essayer ? (je t’attends en commentaire)

Nourris ta foi !

Je te partageais dans l’article de la semaine dernière, à propos des miracles, le fait que Dieu nous a donné le pouvoir de faire de grandes choses en Son nom et qu’Il a fait don de ce pouvoir, par l’oeuvre de la Croix.

Aujourd’hui, ce que nous allons voir, c’est : comment doper ta foi, comment en augmenter la puissance ?

En fait, la réponse est dans le titre.
Pour rendre ta foi plus puissante :
il faut la nourrir.
Mais pas n’importe comment et avec n’importe quoi.

Si tu es arrivé sur cet article par hasard et que tu ne sais pas ce que l’on entend par foi. Voilà de quoi l’on parle : la foi est le fait de croire que Dieu existe. Croire que Dieu existe et qu’Il a établit l’oeuvre de la croix pour nous sauver par Jésus-Christ, et qu’ai si nous sommes ses disciples.

1.Avec quoi nourrir sa foi ?

La parole déclare :

Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole de Christ.

Romain 10.17

Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.

Jean 1.1

La foi en Dieu, en Sa puissance et Ses bontés sera en toi selon ce que tu entendras de Dieu.
À toi d’examiner en profondeur ce que tu entends au quotidien.

  • Est-ce ta foi en Dieu ou ta foi dans le gouvernement, ta foi en toi-même que tu nourris ?
  • Tes oreilles sont-elles sans cesse remplie de Sa parole ?

2. Comment nourrir sa foi, avec quelle attitude ?

Pour nourrir ta foi et te rendre apte à t’imprégner des vérités bibliques que Christ a déjà accompli à la croix pour toi, il faut donc te remplir sans cesse de la parole. Mais Christ, dans Sa parole nous donne une indication particulière sur l’attitude, l’état dans lequel cette parole doit être semée en nous. Regardons la parole du semeur en Luc 8.4-18, et plus particulièrement les versets 15 et 18 :

Ce qui est tombé dans la bonne terre, ce sont ceux qui, ayant entendu la parole avec un coeur honnête et bon, la retiennent, et portent du fruit avec persévérance. […]
Prenez donc garde à la manière dont vous écoutez ; 

Luc 8.15 et 18

Dans ce passage, on voit que la bonne terre qui va pouvoir transformer la semence, la parole, en fruit et la terre honnête, bonne. La patience et la persévérance doivent aussi être une caractéristique de cette bonne terre.

Alors aujourd’hui, je t’encourage pleinement à permettre à tes oreilles d’entendre, toutes circonstances, des choses de Dieu.