Le culte du dimanche, avec des enfants ! 😅

Les enfants restent des enfants en tout temps, chrétiens ou pas. Que l’on soit à la maison ou en public. De même à l’église. Ils demandent de l’attention et de la surveillance. Et ils peuvent, souvent nous rendre fou et mettre à rude épreuve notre patience et maîtrise de soi.

La question qui se pose parfois c’est : comment profiter pleinement du culte du dimanche matin alors qu’on est sollicité toutes les 3 minutes ? Comment y prendre part, y prendre plaisir ?

Pour ma part la seule solution que j’ai trouvé : Réajuster dans mon état esprit. Me demander à nouveau : pourquoi je suis là ?

Et ma réponse est la suivante : Je ne suis plus là pour mon élévation et mon édification uniquement. En effet, je ne suis plus seule (et c’est une grâce, n’est-ce pas ?). Je suis et reste durant ces moments, une mère. Je suis donc à ce moment là également en train d’éduquer mon/mes enfant(s) .

À partir du moment où je me vois ainsi, je ne suis plus embêtée, agacée, énervée d’être interrogée, questionnée ou interrompue à tout bout de champs. À partir du moment où je réaligne mes pensées, c’est beaucoup plus supportable.

Apprends à l’enfant le chemin qu’il doit suivre , même quand il sera vieux, il n’en déviera pas.

Proverbes 22.6

Ainsi, si on considére que l’apprentissage, l’instruction se fait à tout moment de la journée : du réveil jusqu’au coucher, alors chaque parole, réaction est une leçon pour mon enfant, non ?

Qu’en dis-tu ? Est-ce que tu abordais déjà la chose comme ça ? Où est-ce que tu comptes essayer ? (je t’attends en commentaire)

Le miracle est possible, tu peux aussi le faire !

Je partageais dernièrement, une guérison qui s’était produite il y a quelque temps alors que je priais.

Ma fille souffrait d’un rhume 🤧 et ça la gênait énormément.
À cette période-là, la chanson du moment qui tournait en boucle à la maison était :

« Nous sommes une génération choisie, appelée pour montrer son excellence […] je marche avec puissance, j’accomplie des miracles, je vis une vie de faveur, je sais qui je suis ».

À un moment, la chanson tournait et ma fille était sur moi, profitant d’un câlin avant de se remettre à danser, malgré sa fièvre. Sa détermination me scotchait. Et à ce moment précis, ça m’a frappée.

Comment est-ce que je pouvais chanter ce chant et ne pas le vivre.
Comment je pouvais chanter cela et ne pas manifester le miracle, la guérison de ma fille. Certains me diront que ce n’est qu’un chant.
Mais la Bible dit aussi que « la mort et la vie sont au pouvoir de la langue »
(Proverbes 18.21)

On pourrait certainement dire aussi que l’on parle souvent miracle et intervention divine pour de grosses maladies. Mais pourquoi en parle-t-on pour les « grosses » maladies et pas pour les « petites » ?

Si cela est possible pour les « grosses », à combien plus forte raison est-ce possible pour les « petites » . Tu ne crois pas ?

Alors vas-y prie!
Prie de manière acharnée, jusqu’à ce que cette guérison vienne. Prie pour connaître cette dimension surnaturelle.

J’aimerais également partager une chose qui va sûrement t’encourager à cela.
Comme tu l’auras sans doute compris, nous allons parler de miracle.

Si le miracle ne se produit pas, ce n’est pas Dieu qui ne donne pas.

La Bible nous dit qu’Il est mort pour nous donner la guérison. Au moment de sa mort et résurrection, Il a acquis tout cela à la croix pour nous. Il n’y a aucune bataille, guerre, lutte, victoire, guérison, délivrance ; aucun combat, conflit qu’Il n’ait pas déjà gagné et obtenu. L’oeuvre de la croix, fait par Jésus-Christ, a déjà fait tout cela.

Mais c’est pour nos péchés qu’il a été percé, c’est pour nos fautes qu’il a été brisé. Le châtiment qui nous donne la paix est retombé sur lui et c’est par ses blessures que nous sommes guéris.

Esaïe 53.5

Dieu a déjà donné le succès, le triomphe, la délivrance et la victoire sur toutes nos situations.
Et je suis désolé de te dire que :

Si lorsque tu pries pour ces choses-là, rien ne ce produit et tu ne vois pas la manifestation de Sa puissance, c’est que ta foi n’est pas agissante.

Dieu a déjà donné et notre foi est le bras qui nous permet de saisir ce qu’Il a accomplit d’avance, à la croix pour nous.

Prenez , en toutes circonstances, le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du mauvais;

Ephésiens 6.16

Car tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde, et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi.

1 Jean 5.4

Toi qui est né de nouveau par l’Esprit, tu triomphes du monde, tu as la victoire par la foi.
Le Seigneur n’a cessé de répéter lors des nombreux miracles qu’Il a pu faire, ceux des évangiles :

« Ta foi t’a sauvé »
(Matthieu 8.13, 9.22, 15.28)
ou
« Qu’il en advienne selon ta foi »

(Matthieu 9.29)

Alors je t’encourage à persévéré jusqu’à ce que ta foi soit assez grande pour saisir ton miracle.
D’ailleurs nous parlerons plus précisément de la foi la semaine prochaine et sur le moyen de la faire grandir, de la doper et de la rendre agissante.
Mais si ce sujet t’intéresse, je t’invite à lire l’article : Préparer son champ avant la pluie.


Penses à me laisser un commentaire sous cet article ou poser tes questions.
Si tu as également un témoignage à propos d’une expérience personnelle, n’hésites pas.

A bientôt.

Espoir pour les sans espoirs..

Il y a 1 an, je terminais joyeusement mon premier trimestre de grossesse. J’étais dans un état de joie inimaginable, à l’idée d’avoir cet enfant.

#Espoir #IlLaFaitPourMoi
Je t’ai dit : « Je continue malgré la tristesse ».
Et tu m’as répondu : « Je serai ton réconfort, ta joie, continue mon enfant.. »

#DadIsTheBest #UnJourUnHommeEstMortPourNous #UnJourUnHommeEstMortPourMoi

Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Ne vous inquiétez donc pas du lendemain; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine. – Matthieu 6:33‭-‬34

Publiée par Georgina Valmé sur Facebook

Je laissais derrière moi le début d’année le plus compliqué de ma vie, le plus dévastateur spirituellement.
Mon mari et moi avions perdu cinq personnes qui nous tenaient à cœur en quelques mois et un petit être dont nous ne connaîtrions jamais le visage, le sourire ou tout autre chose.
Et au final, c’est ce qui avait été le plus dur pour moi :

  • Porter la vie, puis la mort dans le même corps.
  • Être dans un si grand bonheur et en même temps une si grande peine, dans la même tête.
  • Être fière, puis honteuse du même MOI.
  • Pleine d’espoir puis désespérée avec le même Dieu.
  • Être un réconfort pour les autres qui subissaient ces pertes, comme moi, alors que j’en avais tant besoin.

J’ai eu envie de tout lâcher, tout arrêter : mon groupe de jeune, mon travail, mes activités. Mon mari m’a même fait remarqué que j’avais arrêté de sourire.

Comment faire comme si de rien n’était, alors que j’avais tant de peine en moi ?
Comment aller au travail, après avoir entendu cette nouvelle, après avoir senti cet être me quitter, après avoir vu cet être s’en aller ?
Comment sourire à mon groupe de jeunes, continuer à préparer les activités, alors que je n’en avais plus l’envie ?
Comment voir des enfants, des bébés partout, alors que le mien était parti ?
Comment accepter une telle chose, alors que l’on est jeune, en bonne santé, et plein de vie ?


1. Comment, comment, comment ?

Alors toi qui vis cette situation aujourd’hui, toi qui l’as connue 1, 2, 3,…, 5, 10 fois, toi qui ne crois plus en rien : C’EST À TOI QUE JE M’ADRESSE.

Je ne l’ai vécue qu’une fois. Mais après ça, après m’être relevée, je me suis rappelée du nom de toutes ces femmes que j’avais pu entendre et qui l’ont vécue maintes et maintes fois. Je n’imagine pas ta tristesse, ton état intérieur.

Au-delà de te soutenir, j’aimerais prier pour toi, prier AVEC TOI.
Parce qu’on est tous amené à soutenir certaines personnes : c’est toi que je veux soutenir aujourd’hui. Ne ferme pas cet article sans m’écrire (ginaforgod@unjourunhommeestmortpournous.com).

Je ne peux pas comprendre ta souffrance, car je ne suis pas toi, mais après l’avoir vécue, je ne peux qu’utiliser la force que Dieu m’a donnée à continuer, pour t’encourager (quelle que soit la date de cet article et le moment où tu le liras, écris moi).

2. Toi qui connais une femme dans cette situation

Les médecins ont beau dire, que ça arrive souvent. Et ils ont beau minimiser cette situation : toi ne fais pas cette erreur.
Même si j’ai ma fille aujourd’hui, je n’oublierais jamais l’enfant que j’ai perdu (aussi petit qu’il était). Même si je faisais 10 enfants par la suite, le souvenir de ne pas avoir connu celui-ci, reste.
Sois présent pour cette femme que tu connais. Tes mots seront peut-être maladroits, mais ils seront là, plein d’amour. Prie le Seigneur de te donner les mots justes. Prie le Seigneur pour le réconfort de cette personne.

3. Je m’en suis sorti..

J’ai dit tantôt :

Être un réconfort pour les autres qui subissaient ces pertes, comme moi, alors que j’en avais tant besoin.

Et je pense que c’est ce qui m’a gardée.. Donner de l’amour aux gens autour de moi.

Être reconnaissante parce que j’étais encore en vie, encore debout, encore présente pour les miens et que tout était encore possible pour l’avenir, m’a fortifiée, préservée.

Parce que Jésus, alors même qu’Il avançait jour après jour vers la croix, a continué à donner. Alors même qu’Il savait que ceux qui l’écoutaient, le livreraient : Il a donné. Donné, donner Ses heures, Ses journées, Son Amour.

Continues de donner et ne t’arrêtes pas.


Lire la suite « Espoir pour les sans espoirs.. »

Un enfant..

Ça fait un peu plus de 4mois maintenant que mon mari et moi sommes parents.

C’est notre premier enfant et évidemment, c’est plein de nouveautés, de découvertes, de surprises, de joies. Mais aussi, plein de fatigues, de bordels, de changements d’habitudes, d’incompréhension et encore de fatigues 🤣
Bon je ne suis évidemment pas venue te parler uniquement de ça. Et franchement notre petite fille n’est pas des plus compliquées.

1. Reconnaissance

En devenant maman il y a un truc qui me frappe tous les jours.
Tous les matins quand je prends ma fille dans son berceau, et qu’elle me sourit (avec son smile édenté) je ne peux pas m’empêcher de me dire : « Et ça, c’est moi qui l’ait fait, INCROYABLE !!! » 🙂

Bien évidemment je sais que c’est pas moi qui l’ait fait, MAIS plutôt que Dieu l’a fait en moi. Mais même ça, c’est juste OOuah..

Avoir cette petite fille à fait progresser mon attitude face à la reconnaissance et ma relation avec Dieu dans son ensemble.

Avant d’accoucher je ne me rendais pas compte que ce petit bout de chou aurait un impacte sur ma relation avec Dieu.

Et toi, tu t’étais déjà posé la question ?
Tu as un enfant ? Est-ce que ça à modifier ta relation avec Dieu ?

2. Paix

Il y a un verset qui me revient souvent en tête, quand en pensant à son avenir l’angoisse me prend . Ce verset m’aide à m’apaiser.

Philippiens 4:6-7
« Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications avec action de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. »

En fait quand tu décides d’être parent y’a la joie d’accueillir un enfant mais y’a surtout la responsabilité qui accompagne cet acte merveilleux.

Et c’est vrai qu’étant une stressée de nature ma prière a souvent été: « Seigneur je veux être mère, mais pas uniquement parce que je rêve depuis toujours d’être mère. Je veux être mère, parce que je veux être un outil que tu pourras utiliser pour le façonnage de ton enfant. Aide moi à me soumettre à toi et à être recouverte de ta paix quand à mes responsabilités vis-à-vis des cet (ces) enfant(s). Ne me laisse pas être mère a ma façon, avec ma nature stressée.  »

Par cet article je t’ouvre aussi la porte, si tu as une questions n’hésites pas !!! Je suis toujours o.p pour échanger. 😁😅

Que ça soit lié à la naissance, la grossesse, la petite ou ma relation avec Dieu durant cette période.


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